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Lors d'une visite effectuée au Sénégal samedi, le président du CIO, Thomas Bach, a informé le chef de l'État de l'avancée des préparatifs du tout premier événement olympique à se…
Le vendredi 15 octobre s’est joué la finale du Pro Camp Basket de l'Institut EDGE. A l'issue de cette finale regroupant 40 jeunes basketteurs 20 bourses ont été octroyées aux…
2022 marquera le coup d’envoi des premières actions sur le terrain des JOJ de Dakar 2026 dans l’esprit de la "teranga" !
Le 15 octobre, la 3ème réunion de la Commission de coordination des Jeux Olympiques de la Jeunesse (JOJ) de Dakar 2026 s’est réunie virtuellement pour apprécier les avancées sur les premières initiatives de développement du sport au Sénégal. Elle a également permis de faire un point de situation des travaux de rénovation et de construction en cours.
Depuis l’annonce il y a un an du report de quatre ans des JOJ à Dakar, le CIO et Dakar 2026 ont travaillé en étroite collaboration afin de tirer profit de ce délai supplémentaire pour identifier les meilleures opportunités locales à valoriser. La finalité est de mettre en œuvre des actions concrètes sur le terrain à travers le sport afin de mobiliser la jeunesse sénégalaise, autour des valeurs de la « teranga », la marque de respect et d’hospitalité propre au Sénégal.
La présidente de la commission de coordination, Kirsty Coventry confirme que : « Le nouveau calendrier offre des opportunités sans précédent au Sénégal et au continent africain. Ces premiers Jeux en Afrique seront exemplaires à plusieurs titres. La phase avant les Jeux permettra d’identifier en amont des opportunités qui contribueront à dynamiser la filière sportive sénégalaise. L’héritage de ces Jeux se préparent dès aujourd’hui par des actions concrètes sur le terrain. »
Dakar, 30 sept (APS) - Le Comité d’organisation des Jeux olympiques de la Jeunesse Dakar 2026 (COJOJ Dakar 2026) espère bénéficier des retombées de l’organisation des Jeux olympiques Paris 2024, a déclaré son coordonnateur général Ibrahima Wade.
‘’Tout cela nous rassure en tant comité d’organisation. Nous sommes convaincus qu’avec Paris qui vient avant nous, nous pouvons bénéficier de legs en termes d’expérience, en termes de matière et de de savoir-faire. Tout cela est important, pour relever le défi qui attend le Sénégal, l’Afrique en 2026’’, a-t-il dit.
Le coordonnateur général du COJOJ Dakar 2026 s’exprimait lors de la troisième réunion de l’Alliance Jokko.
‘’La diplomatie sportive est en train d’être opérationnalisée ici. Il y a une volonté des autorités (sénégalaises et françaises), nous lui donnons un contenu concret qui nous permet de bénéficier de l’expérience de la France. Elle a une grande expertise en matière d’organisation de grands événements sportifs’’, a-t-il ajouté.
La Communauté Olympique Mondiale a appris avec tristesse et consternation le décès, le 29 Août 2021, du Comte Jacques Rogge, Ancien Président du CIO et Président d’Honneur de l’Instance Olympique,…
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En 2026, l’Afrique accueillera pour la première fois un événement olympique, puisque Dakar organisera la quatrième édition des Jeux Olympiques de la Jeunesse d’été. Paris 2024 et Dakar 2026 ont signé en 2019 une convention affirmant les liens entre les deux Comités d’organisation, dans un projet de coopération internationale autour de l’importance du sport pour la jeunesse et le développement.[/vc_column_text][vc_column_text] Cette initiative de partage d’information et de bonnes pratiques est précieuse, et rassemble les Comités d’organisation Paris 2024 et Dakar 2026 dans le but d’assurer la réussite des premiers Jeux en Afrique, et des Jeux de Paris 2024. Déjà proches historiquement, les mouvements sportifs sénégalais et français tiennent l’occasion de réaffirmer et renforcer leur lien grâce à cette coopération, jouant notamment sur l’organisation des deux événements, mais aussi la préparation des athlètes des deux pays en amont des deux événements.
Les Jeux olympiques 2020 reportés en 2021 pour cause de pandémie du coronavirus doivent être un moment d’introspection afin de faire émerger ’’une conscience citoyenne et des valeurs de solidarité à travers le monde en cette période de questionnements’’, a déclaré lundi 12 juillet le ministre des Sports.
Avec Tokyo 2020, a-t-il dit, « le temps est donc venu de bien agir, de mieux agir. Pour construire, dans les jeunesses de tous les continents, les valeurs de solidarité, d’entraide, de tolérance, d’ouverture, de conscience citoyenne ».
« Les Jeux olympiques de 2021 ou encore Tokyo2020 se tiennent à une période phare de l’histoire de l’humanité, une période de questionnements difficiles et de remise en cause de nos convictions les plus fortes et les plus ancrées, une période de perte de repères, d’opacité, d’incertitudes », a poursuivi Matar Bâ lors de la cérémonie officielle de remise du drapeau aux athlètes devant représenter le Sénégal au Japon.
Selon Matar Bâ, « ces valeurs qui intègrent l’excellence et le respect, doivent dessiner les contours du nouveau monde qui se met progressivement en place. Elles doivent irriguer les esprits, déterminer les attitudes et façonner les comportements ».
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Au cœur des Jeux Olympiques 2021 qu’il accueille du 23 juillet au 9 août, le Japon, représenté par son ambassadeur à Dakar, a reçu mercredi le Cnoss et les athlètes sénégalais qualifiés.[/vc_column_text][vc_column_text] Par Hyacinthe DIANDY – Parallèlement aux Joj 2026 où il mène ses activités au pas de charge, le Cnoss est aussi à cheval sur les Jo de Tokyo qui débutent dans moins d’un mois. C’est ainsi que l’ambassadeur du Japon au Sénégal, son Excellence Arai Tatsuo, a reçu le mercredi 30 juin le Cnoss et les athlètes qualifiés pour les Jeux de Tokyo et représentés par Mbagnick Ndiaye (Judo), Jeanne Boutbien (Natation) et Fatou Kiné Ndiaye (Athlétisme-Lancer Poids, Jeux Paralympiques). Une cérémonie où on notait la présence du ministre des Sports, Matar Ba, son collègue de l’Economie et du plan, Amadou Hott, la Déléguée de l’Union européenne, entre autres. Dans son discours, l’ambassadeur du Japon a félicité les 12 athlètes sénégalais «qualifiés à Tokyo 2021, après d’âpres compétitions dans plusieurs disciplines». Surtout «dans ce contexte actuel, où le monde entier fait face à une crise sanitaire sans précédent».